Depuis 2005, l'UE 31-2 (Michel Bertreux enseignant responsable avec Freddy Bernard et Stéphane Lagré) invite les étudiants à se confronter aux défis que posent les catastrophes. Car...
..."Les catastrophes nous montrent toujours ce que nous sommes en train de cesser de penser. Le monde change. Le sens et les enjeux de l’architecture, deviennent primordiaux. La population est en forte croissance et le monde rétrécit.
L’incontestable réchauffement du climat, l’épuisement attendu des matières premières énergétiques, révèle un besoin urgent et profond de refonte de notre relation au monde naturel.
Le monde se révèle à nous selon une étrange perspective : celle d’une finitude planétaire qui nous oblige à reconsidérer nos habitats, nos déplacements, nos économies, nos cultures".
L'UE 31-2, "Situations extrêmes", a pour objectif de "mettre le potentiel créatif des étudiants à l’épreuve d’une situation environnementale extrême, pour y construire une utopie réaliste, un habitat possible".

Le site web http://se.ensan.fr/, réalisé par Stéphane Lagré, un des enseignants de l'UE aux côtés de Michel Bertreux, met à la disposition des internautes l'ensemble des travaux des étudiants depuis 2005.

Dans le cadre du cours d'infographie (enseignante : Evelyne Pontoizeau), huit architectures sont choisies pour résumer la diversité architecturale du paysage nantais et parisien.
Postulat de départ : Cette simplification est dite "parfaite". Puis en s'inspirant du vieil adage " à partir de ce qui est parfait rien ne se crée", cette réalité simplifiée s'ordorne sous la forme d'un tableau à double entrée pour initialiser un processus génératif.
Le scénario invite les étudiants à faire une analyse formelle et d'usage de deux architectures tirées au sort, puis à proposer une image de bâtiment hybride (et non un projet d'architecture), mettant en valeur la qualité des deux analyses.
Plus fort qu'un soft de "morphing" ! : Peut-être plus poétique, ou plus conceptuelle, plus drôle ou plus inspirée qu'un calcul de programme numérique, la proposition interroge sur les nouvelles formes de "l'Architecture-APO " (Assisté Par Ordinateur")
Il faut considérer cette "mutation pseudo-génétique " non pas comme le croisement froid de deux univers mais comme "l'alchimie" de trois (le troisième étant l'univers reflexif et singulier de l'étudiant).
Au nombre des huit architectures utilisables, on trouve le palais de justice de Jean Nouvel, proche voisin de l'école d'architecture construite par Lacaton et Vassal. Son hybridation avec la serre du jardin des plantes donne l'image ci-dessus, visible (avec beaucoup d'autres) sur http://hybridearchitecture.free.fr

Un tram-train reliant Carquefou à Couëron par le centre-ville de Nantes constitue l’hypothèse proposée par l’option de master « Utopies Ferroviaires ».

L’utopie n’est pas perçue comme fonction idéaliste mais comme moteur de projet urbain, territorial et architectural, insistant sur l’hybridation des échelles. Les projets sont enrichis de travaux personnels (écriture, photos, entretiens) et d’un ensemble de colloques et conférences mené par des acteurs extérieurs. L’option est ancrée dans la dynamique contemporaine de renouvellement urbain de l’ile de Nantes, ainsi que dans l’évolution de l’image métropolitaine de la ville.

Le site http://www.pasquunrail-nantes.org/ est un espace de réflexion. En plus de tout le travail d’analyse, il retrace l’ensemble des 20 propositions imaginées par les étudiants : des projets à l’échelle architecturale inscrits dans le contexte métropolitain, national, voire international…

L'UE 81-101 « Utopies Ferroviaires » est proposée par Pascal Amphoux avec Fabienne Legros (architectes et enseignants) ainsi qu’Elisabeth Pasquier (sociologue) et Jacky Foucher (designer - Grrr | Agence créative). Etudiants : Lucille Antier, Marie Aufort, Alice Brétéché, Etienne Chalet-Hayard, Camille Clerc, Mariona Domenech Cardona, Anne-Claire Grimaud, Ester Lang, Camille Le Bivic, Kati Kivela, Stéphanie Le Carluer, Nicoletta Leone, Charline Michel, Kaëlig Moison, Alice Moreau, Cécile Pidou, Aude Pinault, Coraline Raulo, Camille Sabin, Florent Vidaling.

Le parc naturel régional de la Haute-Vallée de Chevreuse (Yvelines et Essone) s'est tourné vers l'atelier pédagogique "Utopie Métropolitaine" (Pascal Amphoux, Fabienne Legros, Susan Dunne enseignants) de l'ensa Nantes pour que son analyse critique et prospective alimente la réflexion sur le développement de son futur territoire.
http://parcenfolies.nantes.archi.fr/ est l'url du site web réalisé à cette occasion pour présenter à la fois les objectifs, la démarche et l'ensemble des travaux des étudiants.

Drôle de tram, une histoire de presqu'île.

Il existe aujourd’hui une presqu'île composée de mille petits lieux extraordinaires perdus entre terre et mer, entre marais et forêt, forte de sa diversité à préserver et à faire partager.

Objet de curiosité touristique, la presqu’île calque son rythme sur la cadence des va-et-vient saisonniers qui la sillonnent. Dès lors, il est intéressant d'en repenser le système de mobilité. Le TGV se mue en tramway et une nouvelle ligne douce s’entrecroise avec la voie ferrée existante. L'aller-retour linéaire entre St Nazaire et le Croisic se transforme en une boucle sans fin.

Ce nouveau schéma de mobilités croisées relie une multitude de nouveaux projets urbains, fruits de micros programmations utopiques. De l’échelle territoriale à l’échelle locale se dessine un scénario de développement des communes traversées par la ligne du tram-train s'inscrivant dans cette identité propre à la presqu’île guérandaise. Il est le fruit du travail de UE de projet "utopies Ferroviaires" (Pascal Amphoux, Elisabeth Pasquier et Fabienne Legros enseignants) proposée en master par le domaine d'études 1 (la condition métropolitaine).
Pour en savoir plus, cliquez ici http://droledetram.nantes.archi.fr/

Réalisé par les étudiants et enseignants de l'UE "le même et l'autre" (DE4 projections architecturales), ce site web est la conclusion du travail conduit au cours du second semestre de l'année 2007-2008.

Le point de vue adopté pour l'enseignement est celui qui veut situer l'architecture dans le champ large et ouvert de la morphogenèse ou de l’actualisation formelle. Tout ce qui concerne l'espace nécessaire pour la vie de l'homme est affaire d'architecture ; du paysage à la scénographie, en passant par l’aménagement urbain ou du territoire, les infrastructures et les grands ouvrages, et a fortiori les équipements et l’habitation de l'homme, il est toujours question de donner une forme perceptible à un thème toujours en devenir (position de l’architecte dans la société ou son point de vue par rapport à une question bien identifiée) dans un territoire ou dans une ville.

L’objectif de cet enseignement est de permettre aux étudiants d’une part de développer, de défendre et de favoriser une position critique vis à vis de la production de nouvelles architectures, et d’autre part, de bien poser, les problèmes de son temps, de gérer leurs complexités et de leur apporter les réflexions nécessaires (concentration/distribution des fonctions et des pratiques socio-économiques et culturelles, les diverses manières d'être, d'agir, et leurs interactions avec les innovations techniques et informatiques, le rapport de la création architecturale et les processus et outils de traitements d'information…etc.). L'architecte ne peut plus être seulement le maître d’œuvre d'un bâtiment ou d'un ensemble de bâtiments mais doit aussi, à travers d’autres modes d’exercice, indiquer par sa pratique et sa pensée des lignes de recompositions des praxis humaines (le travail, la culture, le sport, la création, la recherche, l'attention à l'environnement, la ré-invention et l'enrichissement des modes de vies et usages dans la ville; et le chômage, la solitude, la marginalité, le désœuvrement, la violence,…etc.).

L'intérêt majeur de l'atelier de conception est de produire des stratégies formelles et circonstancielles, afin de rendre compte et de domestiquer d’une manière attentive et fidèle mais aussi de parasiter, de réinterpréter et réécrire, telle les courbes infidèles de Hadamard passant inlassablement par les mêmes lieux mais constamment différemment, la zone irrégulière des diverses composantes contraignantes et contingentes du projet architectural ou urbain (programme, contexte, usages, environnement, réglementations…etc.). Ces stratégies permettent de repérer les vecteurs potentiels de singularisation et aboutissent à une pluralité architecturale.

Voir le site : http://memeautre.nantes.archi.fr

Les infrastructures ferroviaires étaient autrefois programmées, dans une perspective strictement technique et fonctionnelle, comme un moyen de relier des centres isolés les uns des autres. Elles ont été plus récemment conçues, dans une perspective plus sociologique et commerciale, comme un moyen de réarticuler centres et périphéries. Une troisième voie est en train de s'inventer, dont l'enjeu est désormais de construire l'identité de la métropole en contribuant à la mise en réseau des différents pôles qui la composent.
Mais comment penser, par le projet et la recherche, une telle réticulation ? Comment articuler les échelles et qualifier les temps de transport ? Comment prendre acte et/ou générer de nouvelles fonctionnalités (motricité), de nouvelles pratiques (mouvance) et de nouvelles représentations de la ville en mouvement (émotion) ? Telles sont les questions explorées par les étudiants de l'UE 81-101(Pascal Amphoux, Elisabeth Pasquier et Fabienne Mareschal enseignants) au cours de ce semestre. Ils ont en particulier réfléchi aux potentialités de développement territorial, social et imaginaire la ligne tram-train Nantes-Notre-Dame-des- Landes et ses gares.
Tous les matériaux produits pendant le semestre sont repris dans le montage et la mise en forme d'un site internet, http://traversdaeroport.nantes.archi.fr/, qui est en outre l'occasion de préfigurer le rendu final de ceux qui présenteront leur PFE (projet de fin d'études).

Dans le cadre de l’option de projet intitulée ‘Utopies Ferroviaires’ à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nantes, 19 étudiants en master et une joyeuse troupe d’enseignants ont embarqué sur la ligne de train reliant Nantes à Pornic.
Au cours de ce semestre il a été proposé de réfléchir autour des notions de mobilité et de mise en réseau de la métropole par le biais de cette infrastructure ferroviaire. Le projet futur d’aménagement de cette voie en ligne de Tram Train a motivé l’orientation de cet exercice et la dimension utopique apparait alors comme moteur de projet.
Le choix de quatre gares d’étude : Rezé Pont Rousseau, la gare enfouie ; Port St Père St Mars, la gare fantôme ; Ste Pazanne, la gare d’aiguillage ; Pornic, la gare terminus ; résulte de leur diversité typologique, géographique et d’usage.
Les projets présentés offrent une articulation entre les diverses échelles architecturale, urbaine et territoriale, tout en questionnant les potentialités fonctionnelle, sociale et sensible de chacun des sites étudiés.
http://developpementsdurail.nantes.archi.fr/
(UE de projet "utopies métropolitaines" proposée en master par le domaine d'études 1 (la condition métropolitaine) et coordonnée par Pascal Amphoux).

... se présentent (histoire et motivations de l'équipe + CV des membres) et détaillent le projet qui leur a permis d'obtenir le premier prix.

http://intranefconcoursbmw.free.fr

Ce site poursuit le travail engagé au premier semestre académique 2003/2004 sur le périphérique nantais par le module Ecritures du projet de l'Ecole d'Architecture de Nantes, placé sous le signe de l'utopie.
Cette fois l'étude a porté sur un territoire d'un km² traversé par le périphérique. La démarche est symétrique à la première, mais ce sont les données concrètes du site et le réalisme des projets qui deviennent le moteur d’utopies réalisables.
Le territoire choisi subit actuellement une poussée d'aménagements sous la forme d'opérations de lotissements qui effacent un ancien tissu rural d'activité maraîchère dont les résidus sont maintenus en friche afin de constituer des réserves foncières.
Au milieu de cette hétérogénéité figurent des éléments majeurs- tels que, le périphérique, un grand centre commercial, des lignes à haute tension, ou la rue Ernest Sauvestre conduisant au centre de Nantes- pour certains encore en attente d’une ré-interprétation afin de structurer et articuler une future cohérence urbaine.
http://reconquete.nantes.archi.fr
(UE de projet "utopies métropolitaines" proposée en master par le domaine d'études 1 (la condition métropolitaine) et coordonnée par Pascal Amphoux).

Utopie métropolitaine (master1 et 2)
"utopie : conception politique ou sociale purement idéale, qui ne prend pas la réalité en considération. Projet irréalisable".
L'utopie dont il est question dans cet enseignement est à explorer comme moteur de projet urbain et (territorial et non seulement comme fiction idéaliste.

Sur les bords des communes de Saint-Nazaire et Trignac ; entre une route départementale et une voie ferrée ; dans la communauté d’agglomération de Saint-Nazaire ; de part et d’autre d’une route nationale… La carence de cohésion du territoire étudié ici le met en résonance avec l'un des enjeux actuels des villes françaises, à savoir le devenir de leurs « zones suburbaines ». Les espaces publics des périphéries de villes se distinguent à coup sûr de ceux soignés et protégés des centres-villes.

Au départ du processus de projet, les étudiants ont à leur disposition :
- trois formes spatiales théorisées comme outils de travail : la micro-centralité polarisante ; la frange liant et séparant à la fois ; l'espace de réserve, poche de potentialité... Leurs formes et usages propres, leur urbanité latente enclenchent le projet (sub)urbain.
- et un fil directeur : partir des réalités physiques et des usages du site pour arriver à des « utopies réalistes », des projets et programmes capables de susciter le rêve précisément parce qu’ils sont réalisables.

http://trignac-poursuite.nantes.archi.fr/home.htm
(UE de projet "utopies métropolitaines" proposée en master par le domaine d'études 1 (la condition métropolitaine) et coordonnée par Pascal Amphoux).

Le périphérique, comme toute grande infrastructure, est réputé polluer l’environnement physique, déstructurer la vie sociale et détruire le paysage. Devant l’abandon de sa conception à des logiques de plus en plus techniques et comptables, il est urgent de repenser le potentiel de structuration des territoires que, comme leur nom l’indique de telles infrastructures sont susceptibles d’engendrer.
Les utopies sont réputées fictives, irréelles ou illusoires. Devant l’abandon de leurs représentations (architecturales et urbaines, sociales et politiques) à des idéologies de plus en plus débridées(futurisme, déconstructivismes, apologies du chaos…), il est important de repenser la notion de manière paradoxale en croisant la fiction et la réalité, le vraisemblable et l’étonnant, l’ordinaire et l’extra-ordinaire.
http://utopies.nantes.archi.fr
(UE de projet "utopies métropolitaines" proposée en master par le domaine d'études 1 (la condition métropolitaine) et coordonnée par Pascal Amphoux).

D’un côté, une métropole rationalisée, organisée et fixée dans ses limites et ses frontières par le politique. De l’autre, un territoire sans coordonnées stables.
Entre les deux, une zone de friction, de fissuration, laissant des espaces de liberté, des blancs, où les réinterprétations peuvent exister.
Ces espaces de franges, de suburbanité ne permettraient-ils pas de se glisser dans les figures d’un territoire pour en proposer de nouvelles, de réinventer de nouvelles formes de dialogue entre le territoire et ses pratiques…

Concrêtement, il s’agit ici d’effectuer des propositions de recherche et de projet pouvant aller de l’échelle minuscule (interventions ponctuelles mais répétables pouvant produire des effets sur le développement de tout le territoire), à l’échelle « majuscule » (planification stratégique d’ensemble portant directement sur la structuration de la métropole).
Le croisement du travail de laboratoire et d’atelier doit permettre d’orienter le projet et d’en définir les enjeux sur trois plans : les plans fonctionnel, social, sensible. Les projets doivent poser des questions de recherche, orienter l’usage des méthodes proposées et interroger le sens profond de notions flottantes dans la pratique.

http://estuaire.nantes.archi.fr/
(UE de projet "utopies métropolitaines" proposée en master par le domaine d'études 1 (la condition métropolitaine) et coordonnée par Pascal Amphoux).

Ce projet a commencé en 1998 par une coopération entre une équipe d'enseignants de l'Ecole d'Architecture de Nantes et de l'Ecole Nationale d'Architecture et d'Urbanisme de Tunis, avec l'aide du Conseil général de Loire Atlantique, dans le cadre de la coopération décentralisée. Cette coopération a pris la forme d'un travail pédagogique réalisé conjointement par des groupes d'étudiants des deux écoles.

Dans un premier temps, à partir de relevés architecturaux et d'enquêtes, les travaux d'étudiants ont retracé les phases de construction et de transformation de maisons de la médina, mais aussi les formes d'occupation de l'espace passées et présentes, et ont produit des mémoires ou des diplômes sur la thématique des mutations architecturales et urbaines.
Progressivement, l'idée s'est imposée qu'il fallait un lieu d'échange concret entre chercheurs étudiants et habitants à propos des techniques de construction et de la double question de la transformation architecturale et des choix techniques et réglementaires.
C'est ce qui a amené un second temps du projet, en l'occurrence la décision d'ouvrir un chantier de réhabilitation, d'expérimentation et de débat : la maison-laboratoire proprement dite.

Ce projet est expérimental puisqu'il vise autant le développement d'alternatives techniques que l'écoute de tout un chacun sur ce qui doit être fait pour réhabiliter. Mais il s'enracine aussi et d'abord dans les quelques convictions indéfectibles et partagées par l'équipe qui sont à son origine :
- démontrer que, contrairement à l'opinion commune, la réhabilitation est techniquement faisable et préférable à la destruction-reconstruction ;
- montrer les alternatives à la reconstruction à l'identique. Il s'agit de techniques "douces", voire écologiques, les mieux adaptées au bâti ancien, et de matériaux et techniques issus des savoirs disparus, de savoirs existants et de savoirs techniques nouveaux testés ;
- écouter et garder en mémoire ce que les habitants, les maçons sur le projet, les architectes, etc. ont à dire sur l'emploi des techniques et plus largement sur les transformations de la ville ;
- échanger des informations et faire bouger l'ensemble de nos représentations du patrimoine et des techniques. La maison est aussi un support de discussion, un espace de débat public et d'échanges sur l'architecture et les mutations urbaines et techniques.

http://maison-laboratoire.nantes.archi.fr

La loire ? Lumière (les aquarelles de Turner), lenteur… Le marnagae comme pulsation lente, régulière, fondatrice d’identité, avec ses modifications lentes, comment l’eau façonne la berge.
La métropole ? Un port et une activité logistique, de grandes industries et leurs réseaux de sous traitants. 2 pôles complémentaires en terme de structure économique. Faiblesses : deux bassins d’emplois distincts (environ 3000 migrants alternants quotidiens entre les deux villes sur 300000 emplois), faible visibilité internationale, absence de lieux symboliques (atlantis & route de vannes constituent les lieux de rassemblement).
L’espace public ? A l’échelle de la métropole, fonder son identité de la métropole, permettre un sentiment d’affiliation à une communauté métropolitaine : hybrider les approches ; distinguer l’aménagement, à valeur fonctionnelle, et le projet, à valeur temporelle ; rechercher les matériaux constituant l’architecture des paysages ; réinjecter des actions de résistance dans la conscience spontanée.
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http://estuaireestula.nantes.archi.fr/home.htm
(UE de projet "utopies métropolitaines" proposée en master par le domaine d'études 1 (la condition métropolitaine) et coordonnée par Pascal Amphoux).

C'est drôle, poétique, impertinent, inventif, coloré... et c'est ici : http://www.nantes.archi.fr/fr/satellite/liste_site.htm